Le gouvernement provincial et la Société médicale du N.-B. ratifient une nouvelle entente de quatre ans

Le gouvernement provincial et la Société médicale du Nouveau-Brunswick ont signé une nouvelle entente-cadre de quatre ans sur les services de médecin destinée à améliorer l’accès aux soins de santé primaires dans la province.

« Votre gouvernement sait que la disponibilité et la prestation des services de soins de santé ont des répercussions sur la qualité de vie des gens du Nouveau-Brunswick », a déclaré le ministre de la Santé, Victor Boudreau. « Aujourd’hui, nous sommes fiers d’annoncer la conclusion d’une nouvelle entente de quatre ans avec les médecins, qui prépare la voie à une transformation du paysage des soins de santé dans notre province. »

La nouvelle entente-cadre sur les services de médecin prévoit une augmentation de un pour cent par année pendant quatre ans de la rémunération à l’acte et des salaires des médecins. Cette augmentation sera rétroactive au 1er avril 2016.

En plus des augmentations économiques, l’entente prévoit la mise sur pied d’un comité chargé d’examiner les codes de rémunération dont l’utilisation a été très affectée par les récentes avancées technologiques.

« Pour la première fois de notre histoire, tous les médecins en exercice dans la province – tant ceux qui sont rémunérés à l’acte que ceux qui sont salariés – étaient représentés à la table de négociation dans le cadre d’un seul processus de négociation officiel », a affirmé la présidente de la Société médicale du Nouveau-Brunswick, Lynn Murphy-Kaulbeck. « Il s’agit d’une réalisation importante à la fois pour la Société médicale et pour le gouvernement provincial. »

L’entente prévoit aussi l’établissement d’un nouveau modèle de collaboration pour les médecins de famille appelé Médecine familiale Nouveau-Brunswick, qui vise à :

 

Les médecins travaillant selon le nouveau modèle de Médecine familiale Nouveau-Brunswick disposeront d’un régime de rémunération mixte : 60 pour cent de leur rémunération sera calculée en fonction de leur registre de patients et 40 pour cent selon un modèle de rémunération à l’acte réduite.

« Cette nouvelle entente témoigne véritablement de la passion et du désir de changement que partagent le gouvernement provincial et la Société médicale du Nouveau-Brunswick, a dit M. Boudreau. En effectuant des changements maintenant, nous obtenons des résultats pour veiller à ce que notre province soit prête à affronter les défis qui attendent notre système de soins de santé dans les années à venir. »

RENSEIGNEMENTS POUR LES MÉDIAS :

Véronique Taylor, communications, ministère de la Santé, 506-444-4583, veronique.taylor@gnb.ca.

Gérin Girouard, directeur par intérim, politiques et communications, Société médicale du Nouveau-Brunswick, 506-462-4671, ggirouard@nbms.nb.ca.